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L'Innocence

P. O. L, 1984

 

 

 

Quatrième de couverture : 

Sans doute sommes-nous peu enclins à admettre que nous naissons tous coupables et que nous passons notre vie à identifier, reconnaître ou ignorer notre faute. L’infamie et l’abjection nous sont si familières que l’innocence – cet extrême, frémissant, secret – semble devenue notre part obscure, sinon maudite. Peut-être les personnages dont on lira ici l’histoire ne s’y résignent-ils pas ; leurs faits et gestes, tant dans la Presqu’île, leur pays natal, qu’en France, pourront paraître excessifs, paradoxaux ou même symboliques ; mais cette histoire ne se veut pas exemplaire ; tout au plus la définira-t-on comme un drame ordinaire suscité par des situations déconcertantes, ambiguës, voire d’exception. 

« Avec L'Innocence, Richard Millet propose un second roman, mince et dense livre de 140 pages, où les amateurs retrouveront sa phrase sèche, parfois fulgurante, et sa syntaxe un peu insistante. » 

Agnès Vaquin, La Quinzaine littéraire

Image d'arrière-plan (modifiée) ©  Marie-Lan Nguyen / Wikimedia Commons / CC BY-SA 2.0

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