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La Fiancée libanaise

Gallimard, 2011

 

Quatrième de couverture :

« Un écrivain notoire et misanthrope se rend à Siom, en Limousin, d'où il est originaire, pour y rencontrer une jeune Libanaise qui travaille à une thèse sur la place de la femme dans son œuvre. C'est surtout du rôle des femmes dans sa vie qu'il sera question, au cours de ces conversations nocturnes sur l'impossibilité de l'amour, le sexe comme art ou comme damnation, la littérature, la musique, la France, la mort de l'Europe, le Liban, la Suède enfin où, pendant quelques heures, l'écrivain a été le lauréat du prix Nobel de littérature, au cœur de ce théâtre de chair et d'ombre, dérisoire et irremplaçable, qu'est l'existence. » 

« À l’image de Thomas Bernhard, l’un des plus grands écrivains autrichiens du XXe siècle, Richard Millet n’en finit pas de scandaliser ses contemporains, prenant constamment, comme le faisait Bernhard, le contre-pied des doxas contemporaines et entremêlant dans son œuvre l’autobiographie et l’imaginaire, démontrant une fois encore que le rôle premier de la littérature est sans doute de pousser l’expérience intérieure à son paroxysme, d’aller au bout de ses intuitions et de ses désirs, accomplis ou non, sans souci de la morale, bref de dérouler l’imaginaire en tant que face cachée mais bien réelle de la vie. » 

Matthieu Falcone, Culture Mag

Image d'arrière-plan (modifiée) © Holger.Ellgaard / Wikemedia Commons / CC BY-SA 3.0

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