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Contre le pape François


 

Les autorités ukrainiennes se sont irritées du Chemin de Croix voulu par le pape François au Colisée, dans lequel, à la XIII° station, la croix devait être portée conjointement par une Ukrainienne et par une Russe, réactivant le cliché selon lequel les Ukrainiens et les Russes sont deux peuples « frères » qui se chamaillent. Symbolique spécieuse, ambiguë, en tout cas prématurée, a fait savoir au Saint Père sa Béatitude Sviatoslav, archevêque majeur de l’Eglise gréco-catholique ukrainienne. Le pape n’en a pas tenu compte.

« On dirait, me dit une amie ukrainienne, que ce pape ne nous considère pas comme de vrais catholiques et qu’il préfèrerait nous jeter dans l’Eglise orthodoxe du Patriarcat de Moscou, afin que les choses soient plus simples. »

Propos excessif ? Mais non. Le pape est un pape quasi woke. On le sait depuis qu’il a préféré ramener en Europe des réfugiés musulmans au lieu de chrétiens.

Le comble est atteint quand il laisse entendre (conformément au discours du parti immigrationniste) que le monde accueille trop de réfugiés ukrainiens (sous-entendez « blancs) au détriment de bons réfugiés : les « migrants » officiels (i.e. « de couleur ») qui viennent ravager l’Europe en toute quiétude.

« La guerre, c’est le choix de Caïn. » déclare encore le pape. Manière de ne pas dénoncer l’agresseur ni son complice Kirill et les puissances d’argent auxquelles ce religieux oligarque s’allie.

Ne pas nommer l’agresseur, c’est donc faire le choix du Satan russe en même temps que des puissances du nihilisme woke d’Occident.

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